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 Brujah Meribah.

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2 participants
AuteurMessage
Meribah
Noble-Marquise
Meribah


Messages : 2
Date d'inscription : 03/11/2011

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MessageSujet: Brujah Meribah.   Brujah Meribah. EmptyJeu 3 Nov - 16:43

Nom : Brujah.

Prénom : Meribah.

Age : Voyons, on ne demande pas son âge à une dame. Surtout si celle-ci est plus âgée que vous. (Environ 750, elle en fait une vingtaine…)

Famille : Ma seule ‘famille’ est faite de mes semblables, mais ne pensez pas que j’y attache une particulière importance.

Taille : Sans les talons, il s’avère que je mesure un bon mètre soixante-dix.

Poids : S’il vous amuse de peser un tas de chair morte, moi pas.

Sexualité : L’âge joue beaucoup en vérité, seul l’amusement compte, et celui-ci peut-être apporté par tout les sexes.

Avatar : Sans certitude, il s’agirait de Lasthenia, et avec certitude, je vous dirais qu’il s’agit du personnage représenté sur la couverture du volume 8 de la série de romans issue du jeu de rôles : Vampire, l’Âge des Ténèbres.

La race : Vampire.

Rôle : Cette noble a une place plutôt réputée à la cour, bien que son statut de Marquise ne lui accorde aucun autre avantage que le prestige. Elle s’occupe de ses affaires, et personne n’essaie de mettre son nez dedans. Elle a une certaine influence dans les rangs des vampires, ce qui lui accorde de nombreux ennemis, ou rivaux dans son propre camp.

Caractère : Si on devait la décrire, on utiliserait d’abord le qualificatif : suave. La séduction fait partie intégrante de Meribah, si bien qu’elle n’a même pas besoin d’y penser pour faire sienne tout ce qu’elle désire. Et le deuxième mot serait sans aucune hésitation narquoise. Meribah est ironique, sarcastique, et un petit sourire en coin illumine souvent froidement son visage. Car cela ne fait pas de la belle créature un être abordable, au contraire. Ce sourire est plus souvent méprisant et hautain qu’amical et chaleureux. La noble sait où sont ses intérêts, et elle connait parfaitement sa place, comme elle connait parfaitement l’échelle du pouvoir dans la société des Semblables. Elle maitrise à la perfection toutes les traditions et toutes les formules de politesse pour pouvoir insulter quelqu’un sans que celui-ci ne puisse s’en offusquer. Meribah a ses propres buts à servir, ses propres ambitions, et elle sait comment les servir au mieux…

Histoire :


Meribah pose ses mains sur la rambarde dorée et son regard balaie la ville en feu. Voilà deux siècles réduits à néant. Nous sommes le vingt-neuf mai 1453, et Constantinople brûle sous les assauts des Ottomans. La princesse sert les dents, puis lève les yeux au ciel dans lequel s’élèvent de nombreuses fumées noirs, espérant empêcher les larmes de couler. Sa ville brûle, c’est la fin d’une civilisation, et cela lui fait mal d’être là. En bas, les gens crient et hurlent, essaient de sauver ce qui peut l’être, mais à ses yeux, tout est déjà perdu. Trahis par Gênes, trahis par l’Europe, offert en pâture au Turcs Ottomans. Voilà une page de plus d’un millénaire qui se tourne.

Il y a des bruits dans le couloir, et Meribah repousse sa chevelure brune en espérant qu’on la tuera vite. Elle continue à regarder droit devant elle, prête à mourir avec toute la dignité qu’elle saura conserver. Elle entend la porte s’ouvrir, mais il n’y a aucun autre son. Elle ne sent plus rien d’autre que l’odeur du souffre. Elle est presque surprise quand elle se rend compte que ce n’est pas la mort qui se saisit d’elle, mais juste une main terriblement froide qui se referme sur son poignet. Finalement, la princesse accepte de se retourner, et un homme se tient devant elle.


« Ernesto…
_Mademoiselle ! Nous devons partir, la ville est en flamme ! Les Ottomans seront bientôt là ! Il est temps de fuir maintenant ! »


Doucement, la jeune femme ravale ses larmes, et tire son bras pour le libérer de la poigne du jeune homme. Elle pose ses doigts sur son visage paniqué, et la peau est glacée sous sa caresse. Elle sourit presque douloureusement.

« Non, Ernesto… Je reste là. Tu me connais, que ferais-je ailleurs qu’ici ? Constantinople est ma maison… »

Les yeux sombres de l’homme semblent désemparés.

« Vous ne comprenez pas ! Ils vont vous tuer si vous restez là ! Qu’importe que Constantinople soit votre demeure ! Que fait le peuple quand leur maison brûle !? Il en reconstruit une autre ! Nous n’avons qu’à reconstruire une autre Constantinople ailleurs ! Une plus belle… Une plus forte… Qui résistera… »

Meribah le regarde s’énerver, s’affoler, puis se radoucir pour essayer de la convaincre… Il veut tellement qu’elle le suive.

« Non Ernesto, ça, c’est ce que le peuple fait… Mais je ne suis pas pareille. Quand ma maison brûle, ce n’est pas qu’une maison, tu comprends ? C’est la gloire, c’est l’honneur… Et quand ma maison meurt, je me dois de mourir avec elle… »

Elle semble tellement déterminée. Elle s’éloigne de l’homme et va à nouveau s’appuyer sur la rambarde. Elle est tellement sure de mourir ce soir. Et elle n’a pas vraiment tort. Elle pensait qu’Ernesto choisirait entre deux options : fuir seul, ou rester là avec elle et mourir. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était qu’il vienne l’arracher de sa contemplation, et qu’il la jette entre les draps de son lit, les yeux rougis, la regardant d’un air presque désolé.

« Tu mourras avec ta maison… Mais tu me suivras tout de même… »

C’est ainsi que Meribah devint l’une des semblables.


Finalement, elle survécu à la chute de la plus grande ville de l’histoire. Et elle survécu à bien d’autre chose, bien que cela ne fut pas le cas du vampire qui l’infanta. Elle se rendit en Europe, où elle rejoignit une communauté de vampires qui suivaient un certain psychopathe narcissique. Mais au moins, c’était une communauté, et c’était ce dont elle avait besoin. Ses talents firent d’elle une personne de pouvoir, et son grand âge la blasa plus que les autres. Elle a désormais une place de prestige à la cour, puisque devenue Marquise, et regarde les années s’agiter sous les ficelles invisibles qu’elle agite du bout des doigts…



Autre : Ce qu’elle pense des autres :

Les vampires

Kamijo :
Le seigneur des vampires. En tout cas, il est celui qui règne sur notre communauté, et apparemment, notre « père » à tous. Je n’y crois qu’à moitié, mais je sais qu’il est plus vieux et plus puissant que moi, et cela me suffit pour continuer à le respecter. Autrement, en tant que personne, il ne vaut pas grands choses, il est sadique, narcissique, et s’il a de l’autorité, cela n’est possible que parce qu’il continue à faire peur… Mais je ne suis pas sure que cela puisse durer éternellement.

Aoi : Il était faible. Soumis et asservit. Il l’était. Maintenant, il s’est enfin dressé contre son oppresseur, et je respecte son acte. Enfin, la prochaine fois, il serait de bon ton qu’il traîne moins à se libérer et à libérer ses proches… Le jour où il s’est enfuit, je les ai regardés s’éloigner, un sourire aux lèvres, puis j’ai fais celle qui n’avait rien vu, refermant les rideaux derrière moi.

Mikaru : Stupide et cruelle créature ! Lui et Kamijo se sont bien trouvés ! Ils sont tout les deux aussi narcissiques l’un que l’autre ! Il a beau se vanter d’être le ‘second’ de Kamijo, il n’est finalement rien de plus qu’un animal dressé pour attaquer. J’ai beaucoup de mal à le supporter à dire vrai, et heureusement que ma bonne éducation m’empêche de me mettre à dos ce méprisable personnage, car je ne suis pas sure d’être capable de me retenir dans un affrontement direct.

Hizaki : Il se comporte et s’habille comme une femme ! Qu’à cela ne tienne, je le traiterais en tant que telle, avec les avantages et les inconvénients que cela comporte. Enfin, si ce n’était que cela, Hizaki ne serait pour moi qu’une femme parmi tant d’autres, mais je considère la ‘demoiselle’ comme valant moins qu’une chienne. Si Kamijo lui envoyait un bâton, elle irait le chercher en rampant pour une caresse. Pourtant, elle n’est pas la plus mauvaise de la coure… Mais sans doute la plus servile.

Karyu : Ce vampire a beau être bien inférieur à moi dans la pyramide sociale, il est tout de même des plus agréables. Amical et franc, les quelques fois où nous avons échangé des paroles me laissent de très bons souvenirs. Cependant, je ne sais pas grands choses de lui.

Uruha : Je ne lui fais pas confiance, mais ses manières sont agréables. Si ce n’est pas de l’éducation, il a un talent certain pour séduire les gens.


Les Lycanthropes :
Ils veulent la liberté ? Et bien, qu’ils la prennent ! S’ils attendent après mes semblables pour se libérer, ils ne sont pas prêts de courir la campagne ! Ils n’ont de toute façon jamais été de très bons esclaves, et j’ai toujours préféré les humains. Eux au moins sont aimables, heureux de nous servir, et de nous nourrir parfois. A dire vrai, je me contrefiche de ce qui leur arrive, j’attends de savoir dans quel sens le vent va tourner : ils pourraient être de précieux alliés dans l’avenir…

~~RPGiste~~

Pseudo :
Vodkami.

Est-ce votre premier personnage ? : Oula, loin de là !

Comment avez-vous découvert le forum ? : Miya et Kumi.
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Kamijo
Admin - Chef
Kamijo


Messages : 48
Date d'inscription : 18/10/2011

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MessageSujet: Re: Brujah Meribah.   Brujah Meribah. EmptyJeu 3 Nov - 19:15

Fiche validée

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Brujah Meribah.
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